L’APC se félicite de ce rejet catégorique de la flexibilisation des rentes du deuxième pilier. L’intervention réclamait la possibilité d’abaisser les rentes LPP en cours en cas de mauvais rendements. Comme l’a expliqué la présidente de l’APC Barbara Gysi au nom de la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique, cette violation des promesses faites en matière de rentes aurait constitué une atteinte à la bonne foi et aurait sapé la confiance des assurés. Le contenu des discussions est accessible ici.
Ruedi Strahm s’est exprimé en des termes très clairs dans la presse alémanique cette semaine, notamment sur l’initiative populaire qui se trouve actuellement au stade de la récolte de signatures. (PDF seulement en allemand)
L’APC continuera à s’opposer fermement à toute réduction des rentes existantes et à se battre pour que les promesses faites en la matière soient tenues.